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Box 3.1. Quand le traitement doit-il être entamé sans attendre le résultat des analyses ?

A. Raisons épidémiologiques :

  • si le patient a un(e) partenaire récent(e) avec gonorrhée avérée
  • si mère d’un nouveau-né présentant une gonorrhée avérée

B. Présence des symptômes suivants :

  • écoulement urétral purulent chez un homme
  • proctite chez un HSH
  • cervicite mucopurulente chez une femme

C. Quand le suivi ne peut pas être garanti (après prélèvement d’échantillons pour analyses en laboratoire)

Certains patients doivent être orientés immédiatement vers la 2e ligne :

  • quand un traitement de première intention n’est pas disponible ou que le patient ne l’a pas toléré dans le passé
  • en cas d’allergie connue ou documentée aux céphalosporines
  • en cas de gonorrhée compliquée : épididymo-orchite, (suspicion de) salpingite aiguë, conjonctivite ou infection gonococcique disséminée